Résumé
Anna est une jeune rédactrice ambitieuse qui travaille pour un grand magazine de mode. Elle et son entourage se font happer par l’urgence des deadlines, l’obsession de l’image parfaite et la pression des réseaux sociaux. Mais, ils le savent, le succès qu’ils recherchent n’est pas sans conséquence.
Sous ses airs de comédie légère, Imparfaite explore notre besoin de briller dans le regard des autres.
«J’ai pu de vie, carrément. Ça veut dire que ça marche, mes affaires ! Selfie ?»
Sophie Montminy
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour...
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour différents médias et...
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour différents médias et compagnies depuis plus de quinze ans....
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour différents médias et compagnies depuis plus de quinze ans. Elle a créé le podcast Femmes de Fer pour faire briller les femmes qui décident de changer les choses dans leur carrière et leur communauté.
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour différents médias et compagnies depuis plus de quinze ans. Elle a créé le podcast Femmes de Fer pour faire briller les femmes qui décident de changer les choses dans leur carrière et leur communauté.
Ancienne rédactrice en chef mode pour un magazine québécois, Sophie Montminy est journaliste et productrice de contenus pour différents médias et compagnies depuis plus de quinze ans. Elle a créé le podcast Femmes de Fer pour faire briller les femmes qui décident de changer les choses dans leur carrière et leur communauté.
Sept heures du matin. La bouche pâteuse, la tête écrasée sur l’oreiller, je regarde mon cellulaire greffé à ma main gauche engourdie. Il vibre à intervalles réguliers, depuis six heures trente, et je suis incapable de bouger le pouce pour appuyer sur le bouton snooze. Totalement hangover d’avoir bouclé le magazine hier, je me sens zéro glamour. Un lendemain de fermeture, on a l’impression d’avoir fait changer le Titanic de cap avant qu’il fonce dans l’iceberg.
