Résumé
— Des excessifs dans votre genre, j’en ai tous les jours dans mon bureau. Les hommes dans la quarantaine refusent de se rendre compte que leur corps vieillit, que tout a changé, que la machine se déglingue et qu’ils peuvent plus se permettre de se démener comme ils le faisaient à vingt-cinq ans. Je vois des burnout, des dépressions, il y en a même qui me font des psychoses. Ils voient des trucs qui existent pas, ils entendent des voix, mais ils me sourient, ils prennent un air détaché et ils essaient de me convaincre que tout va bien.
Sur les conseils de son médecin qui s’inquiète de ses dérapages récents, Nicolas part deux mois loin de son travail, de sa femme et de ses enfants. Il voyage, fait des rencontres, tente de réconforter de vieux amis aussi mal en point que lui ; tout ça ne peut que mal finir.
Stéphane Dompierre

En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également ...
En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également éditeur et chroniqueur, il ...
En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également éditeur et chroniqueur, il signe régulièrement des ...
En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également éditeur et chroniqueur, il signe régulièrement des textes dans La Presse avec l’espoir de rendre le monde un peu meilleur, mais il ne se fait pas trop d’illusions à ce sujet.
En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également éditeur et chroniqueur, il signe régulièrement des textes dans La Presse avec l’espoir de rendre le monde un peu meilleur, mais il ne se fait pas trop d’illusions à ce sujet.
En tant qu’auteur, Stéphane Dompierre aime remettre en question la société contemporaine et ses nombreux travers. Également éditeur et chroniqueur, il signe régulièrement des textes dans La Presse avec l’espoir de rendre le monde un peu meilleur, mais il ne se fait pas trop d’illusions à ce sujet.